‘LA LOI DU MARCHÉ
UNE FIN DIFFÉRENTE ET TOUT À FAIT POSSIBLE DU FILM ‘LA LOI DU MARCHÉ’

Hier, j’ai vu le film ‘La loi du marché’. Le film m’a donné des sensations de tristesse. La société est dure. Pourtant, c’est nous qui modelons la société ! Et ça, c’est une bonne nouvelle. Comme c’est nous qui construisons notre monde, c’est nous qui pouvons le changer. Voilà.

A un moment donné, le personnage principal du film obtient un poste de vigile en supermarché. Lui et son équipe surveillent les clients ou plutôt les marchandises afin qu’elles ne soient pas volées : le travail d’éviter le vol à l’étalage. Même les caissières sont surveillées par des caméras qui tournent constamment de caissière à caissière, de client à client. Le patron du supermarché veut augmenter son chiffre d’affaires le plus que possible ; tout vol est immédiatement puni ! Alors, tous les petits criminels sont rapportés et amenés vers un petit coin.

Les criminels doivent de suite payer les choses volées et s’identifier. Les personnes rattrapées se sentent embarrassées. Pas de pitié pour eux, ni de compassion. Rien. On a volé. Point barre. Tout se passe dans une petite ambiance froide.

J’ai réfléchi là-dessus. Comment agir différemment ? Plus humain ?
Et c’est simple.

«Si nous commençons à nous intéresser à la raison pour laquelle on vole ?
– Pourquoi vous avez besoin de voler de la nourriture ? Pourquoi vous avez volé des billets qui valent de l’argent ?
– Ah, vous n’avez plus d’argent pour payer votre bouffe ?
– Ah, votre fils se drogue. Et vous voulez l’aider mais vous n’avez pas assez d’argent pour le soigner ?

Et là, on peut continuer avec notre questionnement.

– Écoutez, moi aussi, j’ai vécu une étape difficile dans ma vie à un moment donné. J’étais heureuse d’avoir des amis qui m’ont aidés à cette époque-là.
– Alors, vous me dites que vous ne disposez plus d’argent. Vous savez, on a toujours de la viande qu’on ne peut plus vendre car on a presque dépassé la durée de la conservation donc on est obligé de la jeter, même si elle est toujours d’une bonne qualité. C’est dommage. Si vous reviendrez demain, on aura de la viande pour vous. Voilà ce qu’on va faire ! Ca me fera du plaisir en plus. C’est un gagnant-gagnant. »

Et le chiffre d’affaires va prospérer grâce à l’aspect humanitaire de ce supermarché. Il attire de plus en plus de clients car on se sent bien dans un magasin où l’on veille sur le bien-être de ses clients !!

Copyright © Maria Quanjer

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